dimanche 10 février 2019
Il y a quelques jours, je me suis endormie sur le film Mr. Holmes, dont je n’ai vu conséquemment que le début. Hier soir, j’ai revu ce début et je me suis encore une fois endormie sur le divan de mon salon, mais je me suis réveillée pour les dernières minutes et j’ai tout compris. Enfin, je n’ai pas compris la même chose que les auteurs des résumés du film que j’ai trouvés ce matin sur Internet. Ils ne m’ont pas influencée dans ma compréhension du message du scénario, car ce que je vais écrire maintenant est la transcription des notes manuscrites griffonnées dans mon lit la nuit dernière.
Sherlock Holmes s’est retiré à la campagne où il est devenu apiculteur. Vieilli et déprimé, il se sent responsable du fait qu’une jeune femme venue le consulter, et à qui il avait dit la vérité, s’était peu après suicidée. Il repense à son défunt frère qui avait au Japon femme et enfant. Il leur écrit pour leur révéler que Mycroft était un courageux agent secret mort au Service de sa Majesté. Cette première et sans doute dernière « incursion dans le monde de la fiction » lui procure un sentiment réparateur de devoir accompli.
Intéressant, mais bizarre. À cet instant, je cherche sur Internet en à savoir plus sur Mycroft et je lui trouve plusieurs destins et personnalités. Il faudra que je revois Mr. Holmes en après-midi ! Mais pas aujourd’hui, je suis invitée par mon fils et sa femme à la Tohu pour Songe d’une nuit d’été (sous moins 11 degrés).
